Compostelle, pourquoi ?


Etre libre et marcher sur la voie de Compostelle.
Vivre au jour le jour et découvrir ce chemin immortel
Retrouver aussi le plaisir d'une grande randonnée
C'était mon rève et au printemps 2013 il s'est réalisé,


dimanche 21 juillet 2013

L'arrivée à Compostelle, joie et tristesse

Les 2 dernières étapes en Galice se font au travers de forêts d'eucalyptus et avec une brume matinale. J'arrive à Santiago de Compostelle le dimanche 21 juillet avant la messe de midi. La ville est animée et prépare la fête de la St Jacques. Le lendemain, je reprends le chemin et je termine la marche 3 jours plus tard à Fisterra. Lorsque je reviens à Santiago le 25 juillet, la ville est éteinte..la veille, il y a eu l'accident de train et je la quitterai avec émotion et tristesse. A Santiago, je revois Hubert avec qui j'ai marché un bout de ce camino et j'ai une pensée pour ceux avec qui j'ai marché quelques jours et que je n'ai pas revus : Pascal de Lorraine parti le même jour que moi du Puy en Velay, Michel de Bretagne rencontré aussi sur le chemin français, Teresa et Jean, les 2 portugais parisiens et Simona l'italienne que j'ai connus tous les trois avant Burgos, et enfin Marylène et son mari partis de Strasbourg et rencontrés dans le Gers.

Cathédrale de Santiago de Compostela

Vers la cathédrale le 21 juillet
Autel et encensoir dans la cathédrale

Santiago le 25 juillet

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